Les Souterrains du Temps

Arca Mundi
Dans les arcanes de l’histoire, l’extraordinaire mystère des arêtes de poison

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après Le voyage Alchimique,
Georges Combe poursuit son exploration des grands mystères.
 
 
 

Georges Combe descend cette fois sous la terre. Il explore d’extraordinaires souterrains. Un réseau très ancien, à l’incroyable structure géométrique.

 
On a appelé ces galeries : « Les arêtes de poisson ». Elles ne furent « officiellement » découvertes qu’en 1959.
Personne n’a pu percer leur secret. Leur fonction est inconnue. Leurs bâtisseurs aussi.
Une véritable énigme archéologique.
A quelques dizaines de mètres sous les pas des passants, à l’intérieur de la colline de la Croix-Rousse, à Lyon.
 

Depuis soixante ans, ces galeries mystérieuses suscitent de multiples hypothèses.

 
Avec Les Souterrains du Temps Georges Combe s’est livré à une enquête haletante sur notre Histoire, nos mythes, nos légendes et nos croyances.
Une quête qui ressemble à celle du Graal !
Sur 2 DVD, un film de 3 heures 30, en 5 parties, comme les 5 actes d’un opéra fabuleux.
Mais ce n’était pas assez pour cerner le mystère ! Un livre de 300 pages accompagne ces DVD : « Notes sur images ».
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Les DVD et le livre sont rassemblés dans un coffret, produit et édité par PGAfilms.
Un coffret, comme un coffre qui contiendrait les arcanes de l’univers…
 
L’aventure du tournage
 
La genèse du projet
Au départ, il y a le désir de Georges Combe de réaliser un film sur le caractère étrange de la ville de Lyon…
Deux collines, un confluent : un site remarquable.
Et aussi une « Capitale ». On appelle parfois Lyon « Capitale de Gaules », « Capitale du Royaume» à la Renaissance, «Capitale de la Résistance »…
D’autres villes peuvent briguer le même titre… et n’ont pas manqué de le faire, avec plus de réussite apparemment.
La Convention a même déclaré: « Lyon n’est plus ! ».
Mais Lyon est toujours là, bien présente et bien vivante : une Capitale invisible, ou mieux, une Capitale de l’invisible,?
 
Comment filmer l’invisible ? Fallait-il inventer des personnages et faire œuvre de fiction ? Ces personnages devraient-ils naviguer dans le temps ? A quel titre ? De quelle façon ?
Une rencontre débloqua la situation : celle du livre de Walid Nazim consacré à ces mystérieux souterrains enfouis sous la Croix-Rousse.
Invisibles, et pourtant visibles. Visitables en tout cas.
L’aventure commença.
 
Le tournage
Au début, un simple documentaire, pour présenter ce monde inconnu et dangereux.
Le temps passa : un an, deux ans, trois ans de tournage : le mystère des galeries s’épaississait … La spécificité de Lyon était là, sous la terre, et ne demandait qu’à être dévoilée.
 
Lyon était la capitale d’un monde invisible, hors de temps et de l’espace.
Les galeries, comme de gigantesques tentacules, étendaient leur bras sur la terre entière et même au-delà…
 

Un documentaire, oui, mais aussi une fiction, voire un film de science-fiction….Il fallait pouvoir prendre de la distance, sortir des souterrains sans sortir de la terre.

Didier Ozil, avec qui Georges Combe avait déjà reconstitué le cimetière des Innocents dans Le Voyage Alchimique, s’attaqua à la reconstruction des « arêtes de poisson»  en images de synthèse.
Philippe Dessaint, du Service archéologique de la Ville de Lyon fournit les cotes exactes des souterrains. «Les arêtes de poisson » sortaient de terre.
 

On pouvait entrer dans les galeries, les explorer, puis traverser les parois pour découvrir la géométrie de ce réseau et son ahurissante complexité.

 

Vues de loin,  les « arêtes » ressemblent aux bras des capteurs solaires des satellites…

Mais pour capter quoi ?

Mystère.

Les découvertes
Après des années d’études et d’observations, les archéologues n’ont pu déterminer la fonction de ces souterrains : circulation, stockage, égout, catacombes, ouvrage militaire, aqueduc, aucune hypothèse ne rend compte de l’ensemble des paramètres qui constituent le réseau.
La datation elle-même est un problème. Ouvrage antique ? Construction médiévale ? Souterrain militaire du XVI° siècle ?
 
Après avoir fait l’état des lieux, le film avait deux solutions.
Soit le récit s’arrêtait là, face à l’inconnu, soit il continuait et s’avançait dans l’imaginaire, les mythes et l’inconscient.
 
Georges Combe décida de poursuivre l’exploration. Au fil du temps et des tunnels, il découvrit les ombres des mythes fondateurs de notre monde. Il rencontra les incontournables Templiers et dut aller jusqu’à Jérusalem et contre toute attente, il fut conduit à relire « Le Songe de Poliphile », à explorer les mystères de la Franc-Maçonnerie, à se plonger dans l’hermétisme des érudits de la Renaissance…
 
 

Le film prenait des dimensions imprévues : 3 heures 30 minutes. Il fallut le diviser en 5 parties, comme les 5 actes d’un opéra fabuleux, comme une arche souterraine qui relierait l’Orient et l’Occident.

 

Les intervenants

Il y a le décor : les souterrains.

Il y a le son : la musique et les voix « off » du commentaire. Elles viennent de régions invisibles ; l’orchestre d’un opéra est plongé dans sa fosse, et les voix intérieures, « in » à force d’être « off » sont celles de notre inconscient individuel (ce film est aussi mon histoire) ou collectif (le film raconte une partie de l’histoire du monde).
Il y a enfin les intervenants, les acteurs de notre quête :
 

Un archéologue, Emmanuel Bernot, auteur d’un rapport archéologique sur les « arêtes de poisson », rapport que la municipalité a demandé au service archéologique de la Ville de Lyon.

 
Un historien, Hugues Savay-Guerraz, conservateur du Musée Gallo-romain de Lyon Fourvière qui situe les galeries de la Croix-Rousse dans  la problématique de l’environnement gallo-romain.
 
 
Un chercheur-historien indépendant, Walid Nazim, auteur de l’ouvrage L’énigme des arêtes de poisson qui apporte un éclairage original sur ces souterrains.
 
 

Un écrivain chercheur, Cédric Mannu. Ses études l’ont conduit à dégager une vision particulière des connaissances des Anciens, dans l’Antiquité égyptienne, grecque, étrusque et romaine.

 
Un scientifique, Philippe Guillemant, physicien, chercheur au CNRS. Son approche de la réalité, à la lumière de la physique quantique, l’amène à reconsidérer l’idée que l’on peut se faire du temps.
 
 

 

Cinq intervenants.
Ils venus d’horizons très divers ; l’énigme des souterrains de la Croix-Rousse les a réunis. Ils font le lien entre l’invisible des musiques et des voix, et le décor problématique des « arêtes de poisson » qui ne demande qu’à être transpercé. Qu’y a-t-il derrière ?

Mystère.
 
 
Le livre
Le film a évoqué tellement d’éléments historiques, scientifiques ou mythiques que de nouveaux prolongements s’ouvrent à chaque détour de ces galeries souterraines.
Alors s’est imposée l’idée de joindre un livre à ce film des « notes », semblables à celles qu’on trouve dans les livres. Des notes qui ne seraient pas en « bas de page », mais en « bas d’images ».
Des Notes sur images.
 
Comme si on faisait des « arrêts sur image » pour prendre le temps d’explorer un thème abordé par la séquence qui est à l’écran. Chaque rubrique est indexée par rapport aux chapitres du DVD.
Ces notes s’ouvrent sur des sujets que tout le monde croit connaître, mais qui restent souvent bien mystérieux, comme les souterrains eux-mêmes : certains aspects insoupçonnés de la légende du Graal, de la Franc-Maçonnerie, de la saga des Templiers, de la physique actuelle sont développés dans ces pages.
 

Trois cents pages illustrées font de ces « Notes sur images » un véritable guide. Un dialogue s’engage entre les mots du livre et les images du film.

Les hypothèses se précisent. Elles éclairent aussi bien ces galeries mystérieuses et le monde ancien d’où elles sont issues que le monde d’aujourd’hui et de demain.
Les « arêtes de poisson » ressemblent bien à un coffre, un coffre énigmatique qui contiendrait des pans entiers de notre histoire et de nos connaissances.
 

Film : Les Souterrains du Temps –Arca Mundi-.

Réalisation : Georges Combe
Assistante : Aline Favre
Musique : Gilbert Grilli
Images de synthèse : Didier Ozil
Voix de Gin Candotti-Besson, Denise Rougeon,
Georges Combe et Jean-Marc Galera

Images : Georges Combe, Patrick Viron,
Caméra additionnelle : Antonin Bachès
Prise de son : Damien Crétinon
Montage : Georges Combe, Grégoire Cutzach
Trucages et étalonnage : Grégoire Cutzach
Mixage : Thomas Besson, Studio Pilon

 
 
Livre : Les Souterrains du Temps : Notes sur images
Ecrit par Georges Combe
Mise en page : Terry Fernandez
 
 
Le Coffret qui contient les deux DVD du film (3 heures 30) et le livre « Notes sur images » (300 pages).
Les DVD et le livre ne peuvent être vendus séparément.

Prix TTC : 60 eurosUn film de 1 heure 30 constituera une version cinéma des Souterrains du Temps. Il sera projeté dans les salles à partir de novembre 2015.

 
Découvrez quelques avis des spectateurs et une critique sur ce documentaire :
 
Le film à ne pas rater, j’ai eu la chance d’être à la première projection, ce film est démentiel et démontre qu’il s’est passé des choses à Lyon aussi importantes que les pyramides d’Égypte sur le plan des mystères qui ont influencé la totalité de notre civilisation.” J-M D.
Un film est vraiment extraordinaire. Il nous éclaire sur beaucoup d’aspects et en même temps il nous fait complètement rêver. Il m’habite encore aujourd’hui. A la façon de Da Vinci Code on voyage sans arrêt en rebondissant à la découverte de nouveaux lieux. Les mises en relation remplacent largement une histoire narrative. Un vrai bonheur.” G.R.
 
De Miribel à Loyasse en passant par Jérusalem, de la citadelle Médicis au rêve de Tony Garnier, des secrets de Beaujeu à ceux de Willermoz… C’est fou comme un gône de la croix rousse est capable de vous emmener !” C.B.